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Il ne s’agit pas d’une traduction complète de la datasteat mais d’un résumé.

J’en traduit un peu de temps en temps un peu d’aide ne serait pas de refus.

Il se peut qu’il y ait des erreurs car les documentations ne sont pas très claires mais je m’efforce d’éclaircir certaines zones d’ombres.

Ne vous y fiez pas trop pour l’instant, si vous voyez des erreurs n’hésitez pas a la corriger.

1- Instructions ASM

Instruction GroupMnemonic
Data transfer instruction LDEA, MOV, TRANS, TRANSB, XCH
Repeat prefixREP, REPE, REPNE, REPNZ, REPZ
Primitive block transfer instruction CMPBK, CMPBKB, CMPBKW, CMPM, CMPMB, CMPMW, LDM, LDMB, LDMW, MOVBK, MOVBKB, MOVBKW, STM, STMB, STMW
Input/output instruction IN, OUT
Primitive input/output instruction INM, OUTM
Addition/subtraction instruction ADD, ADDC, SUB, SUBC
Increment/decrement instruction DEC, INC
Multiplication instruction MUL, MULU
Division instructionDIV, DIVU
BCD adjustment instructionADJ4A, ADJ4S, ADJBA, ADJBS
Data conversion instructionCVTBD, CVTBW, CVTDB, CVTWL
Comparison instructionCMP
Complement operation instructionNEG, NOT
Logical operation instructionAND, OR, TEST, XOR
Bit manipulation instructionCLR1 CY,CLR1 DIR, SET1 CY, SET1 DIR, NOT1 CY
Shift instructionSHL, SHR, SHRA
Rotate instructionROL, ROLC, ROR, RORC
Subroutine control instructionCALL, RET
Stack manipulation instructionDISPOSE, POP, PREPARE, PUSH
Branch instructionBR
Conditional branch instructionBC, BCWZ, BE, BGE, BGT, BH, BL, BLE, BLT, BN, BNC, BNE, BNH, BNL, BNV,BNZ, BP, BPE, BPO, BZ, BV, DBNZ, DBNZE, DBNZNE
Interrupt instructionBRK, BRKV, CHKIND, RETI
CPU control instructionBUSLOCK, DI, EI, FPO1Note, HALT, NOP, POLL
Segment override prefixDS0:, DS1:, PS:, SS:

Plus de détails sur les instructions asm du V30:

cliquez ici

2- Generalitées sur le NEC V30

classe : 286

Instructions supplémentaire : ADD4S, BRKEM, CALLN, CLR1, CMP4S, EXT, FPO2, INS, NOT1, REPC, REPNC, RETEM, ROL4, ROR4, SET1, SUB4S, TEST1

Structure : RISC (programme et données accessible avec le même bus d’adresse)

Fréquence max de travail: 8 MHz

Bus d’adresse : 20 bits

Bus de données : 16 bits

Largeur de Pile : 16 bits

Connections a un co-processeur : possible

3- Pin I/O

Symbole électrique :

Description des broches :

Type nom rôle
Sorties A19 – A0 bus d’adresse
Entrée DI15 – DI0 bus de données en entrée
Sortie DO15 – DO0 bus de donnée en sortie
Sortie UBEB disponibilité d’une donnée
Sortie BS3 – BS0 bus de statu
Entrée READYB signal de génération de cycle d’attente
Sortie BUSLOCKB signal look
Entrée POLLB signal périodique de system externe
Entrée RESET RAZ du uC
Entrée HLDRQ accusé réception des données en sortie
Sortie HLDAK accusé réception des données en entrée
Entrée NMI interruption non masquable
Entrée INT interruption masquable
Entrée CLK horloge system
Entrée BUNRI broche de test
Entrée TEST broche de test
Entrée TBI22 – TBI0bus de test
Entrée DBINT réservé pour le NEC
Sortie DBMODEidem
Sortie DBA20 idem
Sortie DBRD idem
Sortie DBWR idem
Entrée DBNMIM idem
Sortie DBHLTST idem
Sortie TEOI idem
Sortie TILENT – TILEN0 idem
Sortie TBRA idem
Sortie TINTA idem

4- Fonctions du CPU interne

4.1 Registres de travail

Les registres polyvalents (AW, BW, CW, DW)

Ces registres sont des registres de 16 bits. Chacun de ces registres sont divisé en deux parties de 8 bits :

  • AW (16bits) composé de AH (8bits) partie haute et de AL (8bits) partie basse
  • BW (16bits) composé de BH (8bits) partie haute et de BL (8bits) partie basse
  • CW (16bits) composé de CH (8bits) partie haute et de CL (8bits) partie basse
  • DW (16bits) composé de DH (8bits) partie haute et de DL (8bits) partie basse

Ainsi on peut accéder à ces registres en 16bit si on s’adressa a eux avec AW, BW, CW ou DW ou en 8 bits si on utilise AH, BH, CH, DH, AL, BL, CL, DL.

Par exemple si on met $FF dans AH et $08 dans AL, alors le registre AW contiendra la valeur $FF08. Cette caractéristique est exploitée par un grand nombre d’instructions comme la multiplication ou la division.

Registre de segment (PS, SS, DS0, DS1)

La mémoire adressé par les 286 est divisée en segments de 64 Ko et le uC peux gérer 4 segments simultanément. (cf chap 4.3 “Adresse physique et adresse logique”)

L’adresse du début de chaque segments sont indiquée dans les registres suivants :

  • Program segment register (PS) : Spécifie l’adresse basse du segment qui stocke le code
  • Stack segment register (SS) : Spécifie l’adresse basse du segment de la pile.
  • Data segment 0 register (DS0) : Spécifie l’adresse basse du segment de données 0.
  • Data segment 1 register (DS1) : Spécifie l’adresse basse du segment de données 1

Ca explique le fait que l’exécutable (.exe) qui est chargé en RAM lors de son lancement ne peux pas dépasser 64 Ko. C’est différent pour les .rxe

Registre pointeur (SP, BP)

Ces registres sont utilisés comme pointeurs pour spécifier une adresse dans la mémoire et peut être référencé dans une instruction. Ils peuvent aussi être utilisé comme index.

SP est utilisé comme pointeur de pile.

BP est utilisé comme pointeur de base

Compteur programme (PC)

Ce registre contient l’adresse de l’instruction qui va être exécuté.

Ce registre est incrémenté a que chaque fois que le microprogramme vas chercher une instruction ou un code dans la file d’instruction.

Lors d’une instruction conditionnelle ou un saut le PC est initialisé avec l’adresse de l’instruction de destination.

Registre d’état (PSW)

Ce registre comporte un ensemble de bits qui donnent une information très complète sur la dernière opération effectuée.

Lors des sauts conditionnelle le uC regarde a quel niveau est ce bite (appelé flag) pour effectuer le saut ou non.

Par exemple pour exécuter le code suivant :

A = A - B
SI (A == 0) ALORS SAUT @label (instruction asm : JZ @label)
Suite du prog ….

Le uC regarde le flag correspondant au résultat nulle Si ce flag est a 1 ça veux dire que la dernière opération effectué a donné un résultat nulle et que donc A est nulle alors le branchement est effectué. Si non il n’est pas effectué.

Il est rare que le programmeur utilise directement ces flags car ils sont principalement utilisés par le uC.

Le PSW comporte 6 flags d’état et 4 flags de contrôle.

Flags d’état :

  • la dernière opération effectuée a généré un dépassement → V = 1
  • la dernière opération effectuée a généré un résultat négatif → S = 1
  • la dernière opération effectuée a généré un résultat nulle → Z =1
  • la dernière opération effectuée a généré une retenue dans la carry auxiliaire → AC = 1
  • la dernière opération effectuée a généré un résultat paire → P = 1
  • la dernière opération effectuée a généré une retenue dans la carry principal → CY = 1

Avec tous ces flags le uC peux gérer toutes les conditions.

Toutes les instructions n’initialisent pas de flags d’état, pour savoir si un/des flags d’état sont modifié par une instruction il faut se reporter a sa description (ç’est souvent une source d’erreurs du programmeur notamment avec les instructions non signées).

Généralement on utilise ces flags en lecture.

Flags de contrôle :

  • flag d’initialisation de mode normal ou de mode test : MD = 1 → mode test, MD = 0 → mode normal (en mode test une interruption est générée après une instruction)
  • flag de direction DIR : DIR = 1 → décrémentation de l’index lors de l’execution d’instructions de manipulation de Chaîne, DIR = 1 → incrémentation de cet index
  • flag de validation d’interruptions : IE = 1 → IT validée, IE = 0 → IT non validée
  • flag d’interruption logiciel : BRK = 1 → IT logiciel generée, BRK = 0 → pas d’IT logiciel

Généralement on utilise ces flags en écriture.

organisation de ces flags dans la registre d’état PSW :

bit15bit14bit13bit12bit11bit10bit9bit8bit7bit6bit5bit4bit3bit2bit1bit0
MD111VDIRIEBRKSZ0AC0P1CY

Lors d’une interruption ou d’un saut a un sous programme le PSW est automatiquement sauvegardé dans la pile et il est restauré lorsque une instruction de retour (RET ou RETI) est rencontré.

Ce registre peut aussi être sauvegardé/restauré manuellement avec las instructions PUSH PSW et POP PSW

Registre d’indexation (IX, IY)

Ce sont 2 registres de 16 bits qui sont utilisé pour lire ou écrire des données en mémoire avec le mode d’adressage indexé.

Ces registres peuvent être référencé dans une instruction qui accepte l’adressage indexé.

En outre, suivant certaines instructions ils peuvent avoir d’autres fonctions spécifiques.

4.2 Espace adressable

Espace mémoire

NECV30Mx peut adresser un espace mémoire de 1Mo car il a 20 bits d’adresse. Voici comment est organisé cette mémoire :

Zone mémoiredescriptionremarque
$FFFFF - $FFFFCespace réservéne pas l’utiliser
$FFFFB – $FFFF0région dédiéeautomatiquement utilisé lors de RAZ, START …
$FFFEF - $00400espace pour l’utilisation généralutilisé pour le programme,l’OS,bios...
$003FF - $00000table de vecteurs d’interruptionVoir chapitre sur les interruptions

Espace d’entrée/sortie

C’est théoriquement possible d’accéder à un espace I/O de 64 Ko dans une région indépendante de la mémoire. Cet espace est accessible avec les 16 bits de poids faible du bus d’adresse.

Zone mémoiredescription
$FFFF - $FF00non utilisable par l’utilisateur
$FEFF - $0000possibilité de mettre un périphérique dans cette zone

Cet espace in/out sunt accesible avec les instruction IN et OUT

4.3 Adresse physique et adresse logique

System de segmentation

Les 1Mo de mémoire, généreusement proposé par le bus d’adresse de 20 bits, ne sont pas directement atteignable par le uC.

En effet, le uC fabrique une adresse sur 20 bits mais les registres internes ne font que 16 bits.

Il est donc possible de gères un espace mémoire de seulement 64 Ko.

L’idée est d’utiliser une adresse de base de segment sur 16 bits et un offset sur 16 bits.

En les additionnant de façon judicieuse il est ainsi possible d’accéder a un block de 64 Ko qui peux se situer n’importe ou dans les 1Mo de l’espace mémoire.

Voici comment sont additionné l’adresse de segment et l’offset :

[Adresse du segment (16 bits)] [0 0 0 0]
+         [Valeur de l’offset (16 bits)]
----------------------------------------
[   Adresse logique codée sur 20 bits  ]

Bien sure, cette addition est faite automatiquement par le uC, vous n’avez pas à vous en préoccuper. Il faut simplement savoir comment ça se passe pour bien l’utiliser.

La valeur présente sur le bus d’adresse est l’adresse physique, L’adresse logique est le couple segment-offset.

Configuration du system de segmentation

Rappelons qu’il y a 4 types de segments (Programme, pile, donée0, donée1). Le début de chaque segment est spécifié dans ces registres PS, SS, DS0 et DS1. L’OS de la G100 initialise lui même ce système de segmentation grâce à ces registres lors de la lecture d’un fichier.

Il ne vaut mieux pas y toucher sauf si vous savez ce que vous faites. (Par contre vous pouvez toucher aux offsets)

Segment de programme (pointé par le registre PS):

Il contiens le code binaire, constantes, tables de constantes…

Segment de pile (pointé par le registre SS) :

il est utilisé pour sauvegarder les registres courant lors d’un saut a un sous programme ainsi que l’adresse de retours pour les restituer lors d’un RET ou un RETI. Il est aussi utilisé par un grand nombre de compilateurs pour passer des paramètres de fonctions ou pour stocker les variables locales.

Segment de donnée0 (pointé par le registre DS0) :

Il permet de stocker des données. Lors de l’exécution d’une instruction de groupe A il est utilisé comme un espace de source de donnée, dans ce cas le contenu du registre IX deviens l’offset de ce segment.

Segment de donnée 1 (pointé par DS1) :

Lors d’une instruction du groupe B il est utilisé comme espace de destination de donnée, dans ce cas le registre IY deviens l’offset de ce segment. Lors de l’exécution d’une instruction du groupe A il peux servir pour stocker les données

Le tableau suivant représente les couples segments offset :

offsetregistre de segmentcommentaire
PFPPSutilisé par le microprogramme pour chercher les instructions dans la file
SPSSutilisé pour aller chercher une donnée dans la pile
IXDS0utilisé pour chercher une donnée 0
IYDS1utilisé pour chercher une donnée 1

Représentation du system de segmentation

4.4 Adresse effective

L’adresse effective est calculée par l’Unité d’EXécution (EXU).

Dans le cas le plus général elle est déterminée par le polynôme suivant :

Base + (Index * Scale) + Déplacement

Avec :

Base = registre de 16 bits
Index = registre de 16 bits
Scale = 1, 2, 3 ou 4
Déplacement = valeur de 8 ou 16 bits

La présence de tous les éléments n’est pas obligatoire, par conséquent l’EXU peux calculer une adresse effective suivant plusieurs méthodes d’adressage.

Cette méthode d’adressage est utilisée pour manipuler plusieurs tables de char, int, long.

MOV AW , WORD PTR [BW + 2*IX +4]
MOV AL ,  BYTE PTR [BW]

4.5 Mode d’adressage

Si ce n’est déjà fait, il est temps de prendre connaissance des instructions asm de base comme les sauts conditionnels et les transfert de données (cf le tableau et le fichier a télécharger du 1er chap).

Sauts et appel de sous programmes

Adressage direct :

Cet adressage est utilisé pour les branchements lointains. Les 4 octets fournis par l’instruction permettent au uC d’initialiser les registres de segment et d’offset PS et PC qui pointent sur la prochaine instruction qui doit être effectué.

CALL far_proc
BR far_label

Adressage relatif :

Cet adressage est utilise pour les sauts un peu moins grand. Ici les 2 octets fourni par l’instruction permet de calculer le déplacement par apport à l’adresse de base du segment de code.

CALL near_proc
BR near_label
BR short_label

Adressage indirect :

Dans ce cas l’adresse d’arrivée est indiquée par un registre de 16 bits. La valeur de ce registre est directement chargée dans le PC.

CALL AW
BR IX

Adressage mémoire :

Le saut est calculé grâce à une adresse effective, il est possible d’adresser en dehors du segment de donnée actuel.

CALL WORD_VAR [BW]
CALL WORD_VAR [BW+IX]
BR WORD_VAR [BR+2]
BR WORD_VAR [BP+IY]

Manipulation de données

Dans le .pdf concernant les instructions asm les modes d’adressages possibles pour une instruction sont indiqués par les codes suivants :

code d’adressageregistres utilisable ou valeur utilisable
reg, reg’ AW, BW, CW, DW, SP, BP, IX, IY, AL, AH, BL, BH, CL, CH, DL, DH
reg8, reg8’AL, AH, BL, BH, CL, CH, DL, DH
reg16, reg16’AW, BW, CW, DW, SP, BP, IX, IY
sregPS, SS, DS0, DS1
acc AW, AL
imm8de $0 à $FF
imm16de $0 à $FFFF
immde $0 à $FFFF
pop_valuede $0 à $FFFF

Dans le .pdf concernant les instructions asm la taille de la donnée a transférer est indiqué par les codes suivant :

code de taille de donnéetaille de donnée
dmem8/16-bit data
mem8/16-bit data
mem88-bit data
mem1616-bit data

La forme général d’un transfert de donnée se pressante de fa forme suivante :

InstructionASM  Destination  , Source

Il faut faire attention a ce que l’instruction de transfert de donnée manipule une donnée de la bonne taille et avec les bons registres, pour ça referez vous au fichier .pdf et aux tableaux ci dessus. La taille de la donnée est déterminée par le registre de transfert.

Adressage immediat :

imm16     :  MOV AW, 216    ;216 -> AW
imm8      :  SHL AL, 5      ;5 -> AL 
             IN acc, imm8   ;imm8 -> acc
             OUT imm8, acc
pop_value :  RET 16

Adressage direct :

MOV byte_var, 216           ;Valeur pointé par [216] -> byte_var

Adressage indirect :

reg16     :  MOV AW, IX      ;Valeur du registre IX -> AW
             IN acc, DW
             INM dst_block, DW
             OUT DW, acc     ;Valeur de l'accumulateur -> DW
             OUTM DW, src_block
reg8      :  ADD AL, CH      ;Valeur du registre CH -> AL

Adressage memoire :

MOV word_var [BW+2], AW     ;Valeur de AW -> memoire pointé par [BW+2]
SUB AW, [BP+6]
MOV word_var [IY+2], 0
SUB AW, [IX+6]              ;Valeur pointé par [IX+6] -> AW
MOV word_var [BW+6] [IY+2],0
SUB AW, [BP+6+IX]

5- Bus de control

5.1 Interface entre le V30 et la mémoire

Le uC utilise un bus de données de 16bit il peux donc transférer des données de deux octets dans l’espace mémoire.

Les mémoires sont divisés en deux blocks de 512 Ko mis en parallèle afin de constituer une source de stockage d’une largeur de donnée de 16bits.

Lorsque le bit de poids faible (A0) est à 0 l’accès a la m mémoire se fait eu un cycle de bus, si non il faut deux cycles de bus.

5.2 Accès a une donnée de deux octets

Dans le premier cycle de bus, UBEB = 0 et A0 = 1 donc seul l’octet de poids fort est accessible en écriture ou en lecture.

Lorsque l’octet de poids fort à été traité le second cycle de bus consiste a faire les opérations suivantes pour traiter l’octet de poids faible : UBEB = 1, A0 = 0.

5.3 Interface entre le uC et la zone mémoire d’entrée/sortie

Le system de segmentation n’est pas utilisé lors du transfert d’une donnée en mémoire avec une instruction IN ou OUT.

Dans ce cas seul les 16 bits de poids faible du bus d’adresse (A0-A15) sont pris en compte, les bits A16-A19 sont quand a eux à 0.

Les données transférées peuvent être de 8bits ou de 16bits par conséquent il est possible de connecter au uC des périphériques gérant des données de 8 ou 16 bits.

L’accès a la zone d’entrée/sortie est plus rapide que lorsque l’on fait appel au system de segmentation, en effet il faut seulement 1 ou 2 cycles de bus suivant qu’on gère 8 ou 16 bits.

5.4 Cycle de lecture/écriture entre le uC et la mémoire

En lecture

Les signaux du bus d’adresse (A19-A0), du bus de contrôle (BS3-BS0) et UBEB sont synchronisé au front montant de l’horloge.

La donnée (DI15-DI0) et le signale READYB sont échantillonné au prochain front montant de l’horloge.

Si a ce moment READYB = 0 alors un cycle d’attente sur l’horloge (TW) est rajouté et la donnée est re-échantillonné au front suivant, pendant ce temps le bus d’adresse est maintenu. Il est ainsi possible de connecté des mémoires plus lentes que le uC, mais attention il est possible de bénéficier que de 3 TW.

En écriture

Les signaux du bus d’adresse (A19-A0), du bus de contrôle (BS3-BS0) , UBEB et le bus de donnée (D015-DO0) sont synchronisé au front montant de l’horloge.

Au front montant suivant de l’horloge le signal READYB est échantillonné. Si READYB = 1, alors un cycle TW est rajouté car la donnée est invalide parce que la mémoire est trop lente.

6- Routines d'interruption

Il y a deux possibilités pour accéder a un sous programme :

  • L’utilisation de l’instruction CALL dans le programme
  • Une interruption (matériel ou logicielle)

Une interruption est générée lorsque :

  • un périphérique interne au uC (Port série, timer, compaateur…) configuré en interruption entre en action.
  • un périphérique externe au uC (clavier, écrant…) branché sur une broche d’interruption entre en action.

Lorsque un de ces événements se produit le microprogramme saute a la routine y correspondant (gestion du clavier, réception d’une donnée série…) automatiquement. Une fois cette routinne d’IT terminée le microprogramme reviens exécuter le code qu’il executait avant le saut.

Une IT se comporte comme l’appelle d’un sous programma avec CALL. C’est donc totalement transparent pour le programmeur et les évenements interruptifs peuvent étre traité de façon automatique.

Pour utiliser ce principe il faut toute fois configurer les IT et coder les routines d’IT (qui ne seront jamais appelé par un CALL).

A une IT correspond un vecteur d’IT. Ce vecteur est placé à une adresse déterminé par le constructeur du uC. Le contenu de ce vecteur est quand a lui initialisé par l’utilisateur avec l’adresse sur 4 octets du sous programme “visé” par l’interruption.

Le NEC a donc une table de vecteurs d’IT qui correspond a l’ensemble de toutes les sources d’IT possible avec ce uC :

[Image]

Les vecteurs 6 a 31 sont réservé par le NEC, donc non utilisable par l’utilisateur

Les 4 octets présent dans le vecteur permettent d’initialiser le compteur programme (CP) st el segment de code (PS) pour permettre au microprogramme de sauter a la bonne adresse.

Lors d’une IT le uC effectue les mêmes opérations que pour une instruction CALL :

  • Sauvegarde de l’adresse actuelle pour pouvoir y revenir
  • Sauvegarde du registre d’état (PSW)

Voici en détail les opérations :

TA <- vector lower word data (offset value)
TC <- vector higher word data (program segment value)
SP <- SP–2, (SP+1, SP)  PSW
IE <- 0, BRK  0, MD  1
SP <- SP–2, (SP+1, SP)  PS
PS <- TC
SP <- SP–2, (SP+1, SP)  PC
PC <- TA

Chaque IT ont un niveau de priorité. Si plusieurs IT interviennent en même temps l’IT traité en 1er est celle qui a le niveau le plus élevé.

D’une règle générale l’ordre des IT sont :

  • Le flag du mode pas pas (celui utilisé en mode test par le débuguer)
  • Les IT matériel non maskable
  • Les IT matériel en entrée
  • Les IT logiciel.

Interruptions matérielles

Non maskable (NMI)

Maskable (INT)

Interruption logiciel

7- Fonction "Standby"

8- Fonction "reset"

9- Timer

 
necv30mx.txt · Dernière modification: 2007/12/17 12:12 par 193.249.190.29
 
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